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Questions fréquemment posées
Vous n’avez encore jamais participé à une conférence sur la plateforme DINA ? Dans ce cas, ce chapitre vous donne un aperçu :
Il est très facile de créer une conférence avec DINA ! La structure de base se définit en quelques minutes seulement. Si vous voulez tout apprendre de A à Z, commencez par ici. Si vous souhaitez commencer tout de suite :
Vous pouvez imaginer qu’une salle numérique est presque comme une salle réelle : quelque chose s’y déroule, et elle peut être équipée de plusieurs manières (type de salle). Dans le cadre de DINA, il s’agit d’événements numériques, qui peuvent varier selon le type de salle. Chaque salle dispose de sa propre page (Internet) au sein de votre conférence. Nous vous expliquons ici comment créer des salles :
Pour nous, un événement correspond à ce qui se passe dans une salle. Il peut s’agir d’une visioconférence dans une salle de type « ateliers », d’un café numérique dans une salle de type « table basse (café) » ou d’un live YouTube dans une salle de type « scène ». La salle « Lobby », quant à elle, répertorie simplement les événements de toutes les autres salles et en fait un agenda. En cliquant sur ce lien, vous découvrirez comment créer un événement :
Nous avons consacré un chapitre entier à ce sujet, dans lequel vous trouverez différents formats et des inspirations. Jetez-y un coup d’œil !
Le centre de rencontres et formations numérique de DINA utilise la technologie vidéo de BigBlueButton. Nous avons réuni quelques-unes des fonctionnalités les plus importantes dans ce chapitre :
Chaque conférence numérique créée sur DINA dispose de son microsite. Vous avez la possibilité d’y exprimer votre créativité et d’y présenter toutes les informations utiles au sujet de votre événement. De plus, les personnes intéressées peuvent s’inscrire à l’événement directement depuis le microsite.
Les participantes et participants à une conférence numérique sur la plateforme DINA doivent disposer d’un compte. Toutefois, nous travaillons à proposer prochainement un accès sans compte aux événements numériques. Les personnes extérieures auront alors accès aux conférences grâce à des identifiants temporaires. Dès que la fonction sera disponible, elle s’affichera pour l’administratrice ou administrateur de la conférence.
Bienvenue dans le guide d’utilisation en ligne de la plateforme DINA. Dans les pages suivantes, vous découvrirez (presque) tout ce que DINA propose en matière d’échanges numériques !
Nous avons créé ce guide afin de faciliter les événements en ligne, qui s’appuient sur une infrastructure de qualité au sein de la plateforme DINA. Ce guide a pour but de vous familiariser avec les fonctionnalités de la plateforme et de vous montrer tout ce qu’il est possible de faire. Les possibilités techniques de la plateforme DINA sont décrites en détail au chapitre « Fonctionnalités » et la FAQ en donne un aperçu.
La technologie elle-même ne suffisant pas à faire de bonnes conférences, nous vous proposons au chapitre « Formats » quelques idées pour réunir des personnes en ligne et créer un échange dynamique et enrichissant. Il va de soi que de simples textes ne suffisent pas pour maîtriser certaines compétences de modération, il faut également du courage pour essayer de nouveaux formats dans un nouvel environnement. Si les participantes et participants adoptent une approche expérimentale et acceptent d’explorer ensemble, tout est réuni pour créer un événement numérique. Pour le reste, vous apprendrez au fur et à mesure ! Les formats proposés ici sont principalement conçus pour des groupes de 40 personnes maximum. Ceci est dû d’une part à des raisons techniques, car BigBlueButton (la solution de visioconférence utilisée par DINA) atteint sa capacité de transmission avec, au plus, 40 vidéos diffusées simultanément. D’autre part, nous savons que plus le nombre de personnes participant à une réunion est élevé, plus les efforts de planification et de gestion lors de la mise en œuvre sont importants. Nous croyons aux formats interactifs qui invitent toutes les participantes et tous les participants à s’impliquer et à contribuer au bon déroulement de la conférence. Pour ce faire, il faut pouvoir compter sur une bonne modération et sur la possibilité d’un retour d’information continu en direct (que ce soit par audio ou par un chat), ce qui est de plus en plus compliqué à mettre en place à mesure que le nombre de participantes et de participants augmente. Un événement bien planifié peut se transformer rapidement en un événement complexe où il est difficile de conserver le même niveau de qualité pour plusieurs groupes. Pour ne pas surcharger l’équipe organisatrice ou les personnes participantes, nous recommandons de ne pas dépasser 40 personnes. Si vous souhaitez organiser des événements plus conséquents, faites appel à des professionnels : betterplace lab, qui a rédigé ce guide, ou encore la Stiftung Bürgermut, proposent des conseils et un accompagnement lors de la mise en œuvre (et certainement beaucoup d’autres, y compris dans votre pays).
Le guide DINA est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons : Attribution — Pas d’utilisation commerciale — Partage dans les mêmes conditions 4.0 International (CC BY-NC-SA 4.0).
DINA.international est un projet commun des agences spécialisées et des organismes de financement du travail international de jeunesse.
Rédaction : Katja Jäger et Jan-Philipp Wagner (Betterplace Lab GmbH) Angelika Wall, Jannik Knaack, Benjamin Vergien et Benjamin Holm (Stiftung DRJA)
Graphisme/Design : Björn Schmitz
Photos : Photos : Maik Lüdemann/Nashorn Filmhaus KG
Direction de la publication : STIFTUNG DRJA, MITTELWEG 117b, 20149 HAMBOURG/[email protected] (pour le partenaire)
Financement : Financé par le ministère allemand de la Famille, des Personnes âgées, des Femmes et de la Jeunesse.
Partenaires : ConAct - Centre de coordination des échanges germano-israéliens pour la Jeunesse IJAB - Agence spécialisée dans le travail de jeunesse international Office franco-allemand pour la Jeunesse Office germano-polonais pour la Jeunesse Stiftung Deutsch-Russischer Jugendaustausch Tandem - Centre de coordination germano-tchèque pour les échanges de Jeunesse
Édition : Version 1.0 20.03.2021 Ce guide est soumis à la licence CC BY-NC-SA 4.0.
DINA.international : la nouvelle plateforme pour les échanges et les rencontres dans le cadre du travail international de jeunesse
La nouvelle plateforme en ligne DINA.international est le fruit d’une initiative commune des agences spécialisées et des organismes de subvention du travail international de jeunesse. L’idée est simple : en mai 2020, les deux offices de jeunesse existants, trois bureaux de coordination et l’agence spécialisée IJAB ont créé un groupe de travail afin de mieux coordonner leurs activités en matière de numérisation et de développer des activités communes.
Leur premier projet commun consiste à proposer une plateforme de vidéo et de planification de projet, qui s’appuie sur l’expérience des plateformes Projektwelt (Stiftung DRJA), TRIYOU (DPJW) ainsi que Tele-Tandem (OFAJ) et les perfectionne à la lumière de l’expérience acquise au cours de la pandémie. Cette plateforme met à disposition des salles numériques gratuitement, sans publicité et dans le respect de la protection des données personnelles. DINA.international entend ainsi soutenir efficacement les activités numériques des agences spécialisées et des organismes de subvention, ainsi que les porteurs de projets et les écoles participant à des échanges. Pour ce faire, la plateforme met toute une palette d’outils à disposition. Grâce à cette plateforme et à l’utilisation de ces différents outils, les acteurs des échanges peuvent développer davantage leur réseau et obtenir de nouvelles possibilités de coopération, à la fois entre eux et avec leur partenaire étranger (par exemple, pour analyser des méthodes et des expériences et traiter collectivement certains sujets ou rechercher des participants ou des intervenants, etc.). DINA.international est consultable depuis les pages d’accueil de diverses agences spécialisées et de financement et sera progressivement mise à la disposition de tous les acteurs des échanges.
Sur quelle technologie DINA.international se base-t-elle ? Que se cache-t-il derrière cette plateforme ? DINA.international fonctionne grâce à la boîte à outils en ligne de la coopérative berlinoise « Wechange », le logiciel Open Source « BigBlueButton » ainsi que le système de messagerie « ROCKET-CHAT ». Wechange et DINA.international proposent des espaces dédiés au travail collaboratif.
« Wechange » est un acteur du mouvement de changement écosocial qui propose ses logiciels sur des « serveurs verts », respectueux de la confidentialité des données et financés de manière transparente, c’est-à-dire sans exploitation des données. Fridays for Future et d’autres plateformes de participation citoyenne, entre autres, utilisent cette technologie pour travailler ensemble et partager leurs idées.
Nous souhaitons remercier « betterplace lab » d’avoir réalisé la première version de ce guide !
Bonne découverte et bon travail sur DINA.international !
Votre équipe DINA
Lors de conférences, les sujets peuvent être abordés selon différents points de vue et aboutir à des résultats concrets. Il est important d’assurer la documentation de ces résultats, surtout s’ils doivent être traités ultérieurement (par exemple, via un projet DINA relié à une salle de type "résultats"). Si le groupe doit prendre des notes parallèlement au processus de travail ou si la documentation doit servir de support visuel, vous pouvez utiliser un outil collaboratif, par exemple un pad DINA disponible sur la page projet, auquel les membres du groupe peuvent accéder en direct. Il est recommandé de décider avant le début d’une session de travail qui prendra note des résultats et de désigner une personne responsable. Le reste du groupe peut alors s’impliquer pleinement dans le travail. La personne qui anime la réunion doit s’assurer que tout le monde a la possibilité de s’exprimer. Selon le format, vous pouvez également demander aux personnes plus discrètes de participer à la discussion sur le chat si elles ne souhaitent pas prendre la parole devant le groupe. Faites toujours comprendre que chaque point de vue est précieux et doit être partagé !
Le format de conférence le plus classique est la présentation. Le rôle des personnes qui y assistent est simplement d’écouter. Dans son fonctionnement, ce format est très proche des conférences habituelles. Le contenu est soit diffusé en ligne, soit dans une salle dédiée où l’oratrice ou l’orateur occupe la plus grande partie du temps de parole.
Pour une présentation, vous devez décider de la salle à utiliser en fonction du nombre de personnes qui y participent :
Pour les petits groupes (< 40 personnes) : tout le monde se trouve dans une salle d’atelier. Les micros et webcams des participantes et participants sont éteints, et seuls les orateurs ou oratrices sont visibles. Les personnes présentes peuvent communiquer au moyen du Rocket-Chat, ou, si elles le souhaitent, demander la parole grâce à la fonction « lever la main » puis intervenir en activant leur micro.
Pour les grands groupes (> 40 personnes) : installation d’un salle de type "scène" dans lequel sera diffusée la présentation. Les participantes et participants se retrouvent dans la salle et peuvent communiquer par Rocket-Chat et, le cas échéant, avec l’oratrice ou l’orateur. Cette personne diffuse sa présentation depuis une autre salle d’atelier qui a été aménagée en conséquence. Pour qu’elle puisse également avoir accès au chat, celle-ci doit entrer dans la salle de type "scène" dans un autre onglet ou utiliser l’application Rocket-Chat sur son smartphone.
L’oratrice ou l’orateur peut commencer sa présentation à l’aide de diapositives. Il est ensuite recommandé de procéder à un bref test technique afin de s’assurer que le son fonctionne et que les diapositives apparaissent. Les participantes et participants peuvent le confirmer sur le chat. Avant la présentation proprement dite, il est important de préciser brièvement de quelle manière les questions seront traitées. Comme c’est souvent le cas, il est conseillé d’y répondre après la présentation. Si l’oratrice ou l’orateur et les personnes qui l’écoutent sont en petit groupe dans une même salle d’atelier, il est également possible d’encourager le groupe à exprimer leur accord grâce à l’option applaudissements. Cela donne à l’oratrice ou l’orateur l’impression de ne pas parler à une salle vide ! Si vous avez choisi l’option de diffusion pour les grands groupes, il n’est pas possible d’interagir pendant la présentation. Les questions posées dans le chat sont généralement vues à la fin de la présentation, car après tout, la personne est déjà occupée à parler.
Les présentations sont en général des formats courts. Il vaut mieux ne pas dépasser les 15 minutes de parole, surtout en ligne. L’avantage d’une présentation numérique est qu’elle peut être enregistrée sans trop d’efforts techniques et ensuite diffusée à un plus large public (après accord, bien entendu).
Assurez-vous que l’oratrice ou l’orateur est visible et audible (réglages micro/vidéo) et qu’elle ou il dispose des droits nécessaires pour partager son écran et afficher des diapositives.
Toutes les autres personnes présentes éteignent leur micro et leur caméra pour que l’oratrice ou l’orateur puisse se concentrer.
En ce qui concerne un potentiel enregistrement (avec l’accord de la personne concernée) : lancez l’enregistrement pour le début de la présentation et arrêtez-le immédiatement après, afin que la session de questions/réponses qui suit puisse se dérouler en toute sécurité.
Il est important, surtout après une présentation, de donner la possibilité de poser des questions, et de l’annoncer à l’avance. Sur DINA, vous avez les possibilités suivantes concernant les questions/réponses :
Liste de prises de parole : BigBlueButton permet de lever la main grâce à une icône. Cette option génère des listes de prises de parole, qui seront ensuite lues par la modératrice ou le modérateur. Au choix, vous pouvez également (lorsque les caméras sont activées) demander une réaction physique (lever la main devant l’écran).
Attention : dans le cas d’un grand groupe, toutes les vidéos ne sont pas affichées en même temps, la personne chargée de la modération doit alors veiller à ce que toutes les voix soient entendues.
Questions/commentaires écrits dans le chat : en présence d’un grand groupe ou si tout le monde ne peut pas utiliser son micro/sa vidéo, il est possible de poser des questions ou de faire des commentaires par le biais du Rocket-Chat (pour les petits groupes, il est également possible d’utiliser le chat vidéo). La personne chargée de la présentation ou celle de la modération peut lire les messages à haute voix, puis y répondre.
Style popcorn pour les plus petits groupes : demandez aux personnes présentes d’activer leur micro dès que nécessaire pour poser leur question ou faire un commentaire.
Précaution technique : dans le cadre d’une session de questions/réponses participative, veuillez vous assurer que les personnes présentes savent activer leur micro par elles-mêmes. Si nécessaire, l’équipe technique peut les aider.
La question est de savoir si la présentatrice ou le présentateur doit répondre directement aux questions/commentaires au fur et à mesure, ou si elle ou il doit d’abord recueillir l’intégralité des commentaires et y répondre collectivement.
Les thèmes complexes exigent de prendre en compte plusieurs perspectives. Pour ce faire, vous pouvez regrouper des expertes et des experts qui pourront partager leurs connaissances. Grâce au UX-Fishbowl, les participantes et participants peuvent également faire entendre leur voix, ce qui en fait des membres actifs de ce format d’échange !
Pour ce format, vous créez une salle BigBlueButton dans laquelle plusieurs personnes peuvent activer leur vidéo selon la situation. Ce format n’est donc possible que pour des groupes de 40 personnes maximum. Si vous souhaitez organiser un échange d’experts devant un public plus conséquent, vous pouvez bien sûr organiser un panel normal où des experts invités tiennent une conversation retransmise au public dans une autre salle. D’un point de vue technique, cela revient au même que la présentation (keynote), mais avec plusieurs orateurs qui forment le panel.
L’UX-Fishbowl, basé sur l’idée de , est un Fishbowl particulier : il offre un moyen interactif de faire participer les personnes assistant à une discussion d’experts de manière rapide et continue. Contrairement à un Fishbowl classique, où on laisse habituellement une chaise inoccupée pour que les participantes et participants s’y assoient spontanément de temps en temps pour participer à la discussion, on alterne ici entre la discussion du panel et les interactions avec les participants. Cette alternance doit être annoncée par la modération au début du format, tout comme le droit de la modération d’interrompre les monologues.
Ce format peut avoir l’air compliqué au premier abord, mais avec les bonnes instructions, il peut favoriser les échanges vivants et authentiques. Important : les experts doivent être informés à l’avance qu’il ne s’agit pas d’un panel classique. Il peut être utile de visualiser le cercle intérieur (expertes et experts) et le cercle extérieur (participantes et participants) et de les présenter au début. La modération garde un œil sur le temps. Celui-ci est partagé en temps de parole pour le cercle intérieur et pour le cercle extérieur. Les temps de parole deviennent de plus en plus courts au fil de la discussion.
La modération commence par poser une question (idéalement convenue avec le panel), à laquelle les experts répondent en premier : chaque experte ou expert formule une première idée. Le cercle intérieur parle, les autres écoutent. Il est important que le temps de parole individuel ne dépasse pas 2-3 minutes, les monologues numériques étant particulièrement fatigants !
Dès que chaque panéliste a formulé une première réponse, le cercle extérieur peut intervenir. La modération annonce que tout le monde va être réparti en petits groupes dans ce qu’on appelle des ; les personnes peuvent être réparties dans les salles à l’aide de la fonctionnalité glisser-déposer. Important : informez les participantes et participants qu’ils doivent suivre l’invitation dans la salle de groupe, la salle principale restant silencieuse pour le moment. Il est recommandé de conduire les membres du panel dans une salle séparée afin qu’ils puissent échanger entre eux sans être dérangés. Il s’agit d’un atout particulier pour les expertes et experts, car ils peuvent échanger des idées entre eux dans un espace protégé sans que personne d’autre ne les écoute.
Avant le début des sessions de groupe, la modération doit préciser que 4 ou 5 personnes (à ajuster en fonction de la taille du groupe, un maximum de 8 salles de groupe pouvant être créées) seront réunies dans une même salle pour échanger librement. Après la discussion en petits groupes, les questions et commentaires qui surgissent sont partagés avec le panel. Il peut être bon de désigner une personne par groupe pour les transmettre ensuite dans la salle principale. Il est préférable de poser quelques questions pour guider le partage du groupe, par exemple : « Dans votre petit groupe, discutez de ce qui vient d’être abordé par le panel : quel argument était particulièrement intéressant ? qu’est-ce qui vous a surpris ? qu’avez-vous entendu que vous ne saviez pas ? quelles questions aimeriez-vous poser au panel ? ». Ces questions peuvent également être adaptées au thème de la discussion.
Les échanges en petit groupe doivent durer entre 10 et 15 minutes. Pendant ce temps, le cercle intérieur (le panel) discute.
Au bout de 10 à 15 minutes, tous les groupes doivent avoir terminé et la discussion en plénière peut commencer. La modération demande alors aux petits groupes de présenter leurs questions et commentaires, qui donnent lieu à une autre discussion du cercle intérieur. La modération annonce que les commentaires seront d’abord recueillis et, après quelques interventions du public, lus par paquets avant que les membres du cercle intérieur n’entament une nouvelle série d’échanges. Les retours peuvent se faire à l’aide des différentes méthodes de questions/réponses : le style popcorn, la liste de prises de parole, ou les questions et commentaires à l’écrit. Pour en savoir plus sur ces possibilités, lisez la description des questions/réponses du chapitre de la . La modération regroupe ensuite les questions et commentaires du cercle extérieur et demande au cercle intérieur de se pencher sur de nouveaux points. Cette étape ne se fait pas sous forme de questions-réponses classiques : les membres du panel réfléchissent ensemble à haute voix à ce qui a été dit. Là aussi, il faut faire attention au temps (environ 10 minutes sont suffisantes, mais selon le rythme de la discussion, on peut les dépasser). S’ensuit une nouvelle mobilisation du cercle extérieur par le biais des salles de groupe. Vous pouvez alterner entre le cercle intérieur et le cercle extérieur aussi souvent que vous voulez, en fonction de la durée du format. Le cercle extérieur devrait se réunir au moins deux fois pour échanger et pouvoir enrichir la discussion du cercle intérieur grâce à leurs prises de parole.
Il est intéressant de demander au cercle intérieur de formuler une brève conclusion avant que le format ne se termine officiellement.
Création de cercle intérieur/cercle extérieur : Afin que les membres du panel d’experts puissent échanger entre eux pendant que le public travaille en petits groupes, vous devriez les placer dans une salle spécifique. Vous pouvez répartir toutes les personnes présentes dans les différentes salles grâce à la fonctionnalité glisser-déposer. Dans l’idéal, une équipe technique devrait se charger de la répartition pendant que la explique comment doit se passer l’échange en groupes. Vous pouvez également choisir la fonction aléatoire, qui vous permet de réorganiser les membres du panel afin qu’ils se retrouvent dans leur propre salle de groupe. Il n’est pas conseillé d’utiliser la salle principale pour le panel, car les membres n’y sont pas seuls : la personne chargée de la modération est toujours présente et des participants spontanés peuvent également se présenter.
Questions directrices pour l’activation du cercle extérieur : Le mieux est d’écrire rapidement les questions directrices dans le de la salle principale, que les participantes et participants peuvent continuer à regarder même s’ils sont dans une salle de groupe.
Activation du cercle extérieur : Le cercle extérieur est activé à plusieurs reprises par des discussions en petits groupes de 4 ou 5 personnes. Il est important de noter que seules 8 salles de groupe peuvent être créées. Les groupes sont constitués à nouveau à chaque fois, il faut donc toujours prévoir 1 à 2 minutes pour chaque activation, afin que les membres puissent se présenter brièvement avant de passer à la discussion thématique.
Important : Dans ce format, les membres du cercle intérieur restent toujours entre eux dans une salle de groupe distincte pendant l’activation du cercle extérieur.
Le World Café est une méthode permettant de débattre en groupes autour d’un sujet et de parvenir à de nouvelles conclusions. Habituellement, les participantes et participants passent de table en table à intervalles réguliers. Au format numérique, il est possible de recréer cela au moyen de « salles thématiques », chacune équipée d’un pad DINA afin de noter ce qui se dit et permettre au prochain groupe de rebondir là-dessus.
Une « salle thématique » est créée pour chaque sujet/aspect à aborder (fonctionnalité salles de groupe) et nommée en conséquence. Pour que chaque salle thématique accueille à peu près le même nombre de personnes, il est conseillé de limiter leur capacité d’accueil maximum. Si une salle est complète, la personne doit chercher une salle portant sur un autre thème. Si quelqu’un reste dans la même salle, il peut échanger avec de nouvelles personnes à chaque fois !
Dans un premier temps, vous devez réfléchir aux sujets ou aux aspects d’un même thème que vous voulez aborder afin de créer les salles thématiques. Vous pouvez prévoir une modératrice ou un modérateur par salle, mais les discussions libres peuvent également être passionnantes. Il est recommandé de noter ce qui se dit dans chaque salle sur un bloc-notes de projet DINA. L’idéal est de désigner dès le début la personne qui prendra les notes.
Les liens vers les documents dédiés à la prise de notes (soit un pad plus long pour tout le projet, soit un pad séparé pour chaque sujet) doivent être envoyés à l’avance afin que tout le monde les ait à disposition.
Si la discussion se déroule librement, il convient de désigner, outre la personne chargée de la prise de notes, celle qui gardera un œil sur le temps. Autrement, cette tâche incombe à la modération.
Chaque salle thématique doit se voir accorder au moins 15 minutes de discussion, voire 20 si le programme le permet. Si chaque participante ou participant doit participer à chaque salle, vous devez créer quatre salles. Dans ce cas, le format durera 60 à 80 minutes. Avant que les membres de la réunion ne rejoignent les différentes salles, vous pouvez rapidement les leur présenter afin qu’ils sachent quels sujets seront abordés. Afin de lancer la discussion (surtout si elle se déroule librement), il est conseillé de réfléchir à l’avance à quelques questions directrices pour chaque sujet et de les noter dans le bloc-notes mis à disposition. Au début de ce format, les participantes et participants quittent la salle principale pour rejoindre une salle thématique. Ils y discutent, puis reviennent dans la salle principale avant de rejoindre une autre salle thématique. À la fin, la personne chargée de la modération peut consulter les notes et en dresser un résumé et/ou indiquer les prochaines étapes.
Les conférences internationales nécessitent non seulement une bonne modération, mais également d’être compréhensibles en plusieurs langues. C’est pourquoi DINA propose une fonctionnalité d’interprétation, pour laquelle vous devez faire appel à des interprètes. Voici quelques conseils pour la préparation de l’interprétation :